Rencontre

Dystka étais partie s’entraîner dans une vaste clairière de la forêt comme elle le faisait chaque matin. Elle avais adopter son apparence de mercenaire, sa préférée. Elle avais « emprunté » une épée à deux mains à la lame mauve ou circulait une énergie qu’elle s’étais mis en tête de découvrir, dans la salle des armes du château. Elle dégaina avec précaution l’arme et la soupesa dans sa paume. Elle était d’une anormale légère. La jeune fille fit quelque moulinets avec puis commença à donner des coups dans le vide. Elle
enchaîna plusieurs mouvements, des coups de pieds, de genou, de coude avec une grande agilité. Cela faisait 10 ans, jour pour jour qu’elle venait s’entraîner ici tout les matins, à l’aurore. Elle mis en pratique des bottes qu’elle avait vu utilisées un membre de la garde royale, hier, lors d’une démonstration d’escrime où elle était invitée. Après une heure d’essai, elle réussi à avoirconvenablement une des bottes, celle qui étais la mieux adaptée à sa condition.
Elle lâcha son épée pour se reposer, encore haletante.

*Mais qui est-ce ? ou plutot, qu'est-ce que c'est ?* Se questionna Dystka en elle-même. Cette créature ressemblait à un oiseau qu'on aurait génétiquement modifié. Du moins ce dont elle étais sur, c'est que ce n'avais rien d'humain, enfin en aparene... Elle ne savais pas si la "créature" avait une conscience, alors il fallais être très prudente... Et surtout ne pas la contrarier. Elle commenca par rammasser sn épée, par reflexe. mais elle constata vite que ce n'étais pas un bonne idée. Elle fit quelques pas, en se forcant d'avoir de l'assurance, même si elle était très mal à l'aise. Elle déposa donc l'arme par terre en regardant la créature dans les yeux, puis recula d'un pas pour examiner sa réaction...

Sans prévenir, le pseudo-dragon vint se poser sur l'épaule de son maitre qui était en train de se relever péniblement. Encore un peu étourdie, Laroz tourna sur lui même pour ce repérer lorsque son regard perçant se posa sur l'humain bardé de fer se trouvant devant lui. Dans un commun approximatif qu'il n'avait appris qu'en regardant agir les bipède terrestre il prit la parole.

Moi pas taper toi

"Mais tu parles !" s'écria Dystka encore sous le choc. Elle se gronda elle-même d'avoir pensé qu'il étais un animal sans esprit. Il étais conscient et meme doué de parole. Tout d'un coup sa frayeur se transforma en curiosité. *D'ou venait-il, que faisait-il ici* des millions de questions bourdonnaient dans sa tête. elle décida enfin de se présenter et choisi sa personalité de mercenaire dont elle avais lapparence.
"Je suis Dystka, du royaume de Saphyr, ce royaume. Et vous ?" commenca-t-elle.

L'aarakocra sembla un instant confus devant tant de parole dans ce langage qu'il ne maitrisait que mal. Il tourna imperceptiblement la tête et d'un coup il sembla tout comprendre le message.

Moi... Laroz... Aarakocra massacré par bête de feu et moi venir par dessus montagne jusqu'à belle forêt...

"Araquo-cra ?! C'est une ville ?" interroga-t-elle.

Laroz fronça les sourcil un instant avant de répondre.

Moi aarakocra, aarakocra maitre du ciel, aarakocra homme à plume que frère à toit appeler moi

Dystka comprit mieux tout dun coup. Aarakocra est le nom de ces magnifiques créatures qui la fascinait à présent. Donc les menbres de son peuple ont été massacré par les betes de feu et ils s'est retrouvé seul.

Elle ramassa l'étrange épée et la remis avec précaution dans son fourreau. Elle alla s'asseoir sur une souche et réflechi à ce quelle allait dire.
-Ta vie dans cette foret, que nous appelons la forêt enchantée, te satisfait-elle ? Interroga-t-elle finalement.

Balança sa tête d'un coté puis de l'autre Laroz lorgna le bout de métal que l'étrange créature qu'il avait en fasse de lui venait de remettre dans un étui.

Oui... oui, animal succulent nombreux et sans-plume amusant... Quoi être bout de métal toi avoir?

"Ah ca ! Nous appelons cela une épée. Ça fait le meme travail que tes serres et ton bec. Il nous permets de nous défendre et d'attaquer. Ce "bout de métal comme tu le nommes si bien, est une lame aussi accérée et tranchante que tes griffes."

L'homme oiseau eu soudainement, dans la mesure du possible, une mou boudeuse.

Sa mort, sa pas vivre. Griffe à moi grandir et vivre. Mort pas le droit de combattre vivant mais vivant avoir le droit de combattre mort.

Dystka étais très étonnée par cette vision des choses. Les humains, ne possèdant aucune arme naturelle, utilisait depuis toujours des objets "morts" comme l'étrange créature les appelait. Dystka était même très fière de l' invention de ces magnifiques armes.

-Je ne vois pas pourquoi ces ingénieuses créations de la main de l'homme n'aurait pas le droit de servir sont inventeur et pourfendre l'ennemi, manié d'une main de maître ! Dit-elle avec assurance.
Une arme n'a pas besoin d'avoir une âme ou de grandir pour être éfficace, la preuve, nous nous défendons bien contre les bêtes sauvages habitants ses bois, et elles ont bel et bien des griffes et des crocs. De plus, une griffe ne peut pas s'améliorer avec le temps et offrir de nouvelle facultés. Continua-t-elle énivrer par ce débat.

Puis elle reprit d'une voix plus calme, plus résonnable :
Mais, ne pensez en aucun cas que je me veux supérieur, maître du ciel. Car ces griffes doivent être plus redoutables que n'importe laquelle de nos lames si elles appartiennent à un être tel que vous."

Laroz garda le silence et continua à lorgner son interlocutrice. Soudain une voix ce fit entendre dans la tête de l'humanoïde.

«De quel droit quelque chose de mort, même commandé par un être plein de vie peu enlever la vie. Le pouvoir de la vie est sans limite et sans restriction mais lorsqu'on commence à en donner à la mort, on trouve un pouvoir dévastateur et sans limite. Pourquoi n'avez-vous pas de défense naturelle? Pourquoi n'avez-vous pas la force de luter contre ceux que vous appelez les sauvages? Eh bien parce que vous avez abandonné tout cela car les morts vous semblaient plus efficace que les vivants. Vous vous êtes construit des palais mort et vous vous bardez de matière morte pour vous protéger contre la matière qui n'a jamais eu une étincelle de vie.»

"Écoutez, je ne rétorquerai pas à cette réplique car je pense que ce débat ne mene à rien. Nos espèces respécitves sont très différents et nos facons de penser diffère sur tout les points. Il faut se forcer à être tolérant envers les autres races, alors je le serrai. C'est le premier pas d'une bonne entente."

Laroz pencha sa tête à droite, puis à gauche et il s'immobilisa brusquement.

"Toi attendre"

Il ce dirigea vers l'arbre qu'il avait percuté et se mit à fouiller dans les buisson environnant d'où il sortit quatre étui individuel contenant des javelots en bois. Il les accrocha sur son ventre puis se remis à chercher. Il sortit des buisson une épée sculpté en bois qui semblait aussi solide que le métal. Et étrangement, le bois de l'arme semblait... vivant.

"Cadeau pour toi. Toi te défendre avec la vie."

Dystka s'avanca prit l'arme de la main de l'homme-oiseau et recula de quelques pas. Elle examina la lame de bois de l'épée. Elle parait tout à fait normal à l'exception du fait qu'elle semble avoir été fait par un maitre forgeron.
*Pourtant c'est bien du bois !* pensa-t-elle.
Elle empoigna la garde pour la soupeser et découvrit une rune gravée dans le bois.
*Étrange, de plus en plus étrange... et de plus en plus fascinant !*
Elle soupesa l'arme. Elle était parfaitement équilibrée. Rassurée, elle la leva et executa de petits mouvements prudemement. Cette épée était si agréable à manier ! Bien que longue, elle était assez légère pour permettre des coups extrèmement précis. Elle commenca à enchaîner des mouvements de plus en plus complexes dont la botte qu'elle pratiquait, devant l'Aarakocra.

Avec une lueur amusée dans le regard, l'homme-oiseau envoya ce qu'on pourrait comparé à un rire.

Nature respecter toi avec cette arme. Aarakocra pas attaquer toi et toi pouvoir détruire ceux qui manient la mort. Rune sur la garde est symbole de mon clan!

L'étrange créature regarda son nouvel amis avec une lueur d'amusement dans les yeux. Il retourna dans les buissons où il sortit des colliers qu'il mis à son cou avant de revenir vers l'humain.

Au revoir

Il déploya ses ailes écarlates et pris son envol par dessus les frondaisons, sous le soleil éclatant.

Dyska regarda avec émerveillement le soleil donner au pelage de l'Aakocra des reflets semblables à des millions de petites flammes et espera, au fin fond d'elle-même, pouvoir reparler avec cette impréssionante créature qui était si loin de tout ce qu'elle avait connu jusqu'à maintenant. Elle n'oublirai jamais cette rencontre, oh non, elle restera gravée dans sa mémoire, le souvenir d'un face à face avec la créature pensante la plus fantastique, une rencontre que même ceux qui se disent les plus chanceux du monde n'auront jamais le centième dans leur petite vie... Oui, elle en avait de la chance...