Ces mots je vous les balances à la dérive, alors que je me tiens au bord du gouffre et m'observe y sombrer... jamais vous ne m'y comprendrez mais je peut vous y éclairer... ce but inexistant est le mien... et ma vie y est dévouée... et c'est dans sa quête que je peut appaiser a coup de réponse cette torture incessante...
Le bien
De quoi s'agit-il de tenter de créer le bon, le bonheur la joie, mais pourquoi, dans quel but... comment aider sans faire basculer le balancier au détriment d'un autre... vos actes emplies d'intentions pures, mais la tache éternelle qui salit vos action... ce qui adviendra adviendra, la volonté involontaire...
Le mal
Douleur, souffrance, vengence, satisfaction par le néfaste, l'obscur... suivant la rhétorique de chacun individuellement... et comment inqualifiable... présent en chacun, possible de quiconque... la volonté d'évacuer tout excès bon ou mauvais... pour satisfaire sa propre personne... affectant plus que l'être concerné... créant la misère la peine la douleur....
La vie
Un souffle, un rêve, une histoire... ce qui fait que je ressent, qui me donne un but, une motivation.... une raison de compter chacun de mes souffles... mémorer chaque image, chaque visage... qui me rapeles que je peut la perdre tout perdre... mais que je peut a la fois tout avoir... sans même ne rien posséder... il s'agit de mon seul bien, le plus précieux des biens que je puisse avoir recu... et lorsque qu'il sera las de moi... marquera ce monde fictif
La mort
L'instant dernier, le pas qui scele le contrat, l'épopée... libératrice ou échapatoire, liberté ou damnation... le moment ou l'absolu des émotions viendra clôre, couper mon souffle, arrêter mon mouvement... et engendrera ma suppression... y rencontrerai-je mes tords... y recevrai-je la bénédiction... venant de l'absolu divin, la rédemption... ou me réserve t-on l'assouvissement d'une présence nébuleuse... le lien qui me retiens aux autres...
Le destin
Je devrait être unique et m'adapter.
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P.III 14/01/07
Pour vous c'est l'intersection qui se montre y prendrait vous la route que vous voyez votre destination, bien indiquée et sans mauvaise impasse... ou déciderez vous au contraire de choisir le chemin énigmatique, mal éclairée qui m'a mené a ma vision de la perfection... le chemin ou seul vous entrez... et divisé vous en sortez... il est toujours possible de retourner sur ses pas si la douleur est trop forte... trop intense.... voire pire que la mort elle même... car le second chemin ne s'arrête point et mène a l'immortalité de l'âme... la dissociation du monde...aimez, haïssez car sans eux vous ne serez... loin des autres vous serez mais au bout de vos bras vous pourrez les atteindre... vivre sa vie au bord du gouffre... supporter plus que les limites du supportable... puisque la connaissance y réside... et de là elle y apparait... dans ses abyse nébuleuses... vous y trouverez... tout si vous ne devenez rien... vous ne serez qu'une carcasse trainant cette mince vie... en quête ultime...
Rampant de douleur, pour la simple petite, la moindre information possible à propos de............
C'est ainsi que je commence a vivre........